Les observations de Cigogne noire, en décembre-janvier, étaient rares au Maroc jusqu'au début des années 2010s ; elles sont en augmentation depuis, pouvant correspondre, jusqu'à mi-décembre, à des migrateurs postnuptiaux tardifs (Bergier et al. 2022 – Oiseaux du Maroc).

Le Fuligule à collier (ou à bec cerclé) Aythya collaris est l’une des espèces néarctiques les plus fréquemment observées au Maroc (Bergier et al. 2022).

Notre confrère Jacques Comolet-Tirman attire notre attention sur les points suivants : « C'est dans les cédraies des environs d'Azrou que j'ai pu faire quelques observations qu'il m'a semblé important de partager avec vous....

Sélection d’observations réalisées lors d'un voyage naturaliste dans le Bas Draa et le nord de la Saquiat Al Hamra par une équipe internationale pluridisciplinaire, avec Mehdi Sadak et Haytam Iallaten côté marocain.

Lors de la préparation d’une exposition de photos d’oiseaux à Crocoparc – Agadir (responsables : Mme A. Marinetti et Mr L. Fougeirol), H. Bousadik et A. Qninba ont exploré le site et ont remarqué la présence d’Hirondelles paludicoles se nourrissant d’insectes survolant les plans d’eau artificiels et profitant de reposoirs temporaires (voir Photo 1).

Le Ganga cata Pterocles alchata est sédentaire nomade peu commun à temporairement abondant au Maroc. L’espèce a terriblement régressé depuis la fin du XXème siècle dans tout le pays. Elle semble encore répandue et assez commune dans le Maroc oriental mais les populations de l’Atlantique Moyen intérieur, du Souss, du Bas Draa, de l’Anti-Atlas, du Saghro, du Dadès-Draa et du Tafilalt se sont fortement appauvries ou ont même disparu (Bergier et al. 2022).